#183 Revue en duo – Délice de Quali-Art

Aujourd’hui comme chaque semaine sur ce blog, nous vous présentons une revue parfumée. Mais pour changer, nous avons décidé de confronter nos impressions sur une même création : Délice de Quali-Art. Nous avons rédigé nos impressions sur cette bougie parfumée, que nous possédons toutes les deux au format cœur de cire, sans nous concerter, comme nous l’avions fait pour Apple Chutney de Kringle Candle Company.

Description de la marque : « Bougie parfumée aux notes de chocolat, noisette, avec une pointe de menthe »

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Odeur à froid
  • Clara : Dès que j’entre-ouvre  le sachet de plastique dans laquelle est emballée la cire, la fraîcheur de la menthe me monte au nez. Mais elle n’est pas venue  seule, elle est adoucie par une odeur de crème pralinée.
  • Lucie : Délice est, à mon nez, une belle et fidèle représentation de la glace menthe-chocolat, que j’aime tant. C’est une fragrance qui mêle à la fois la fraîcheur et la puissance de la menthe à la gourmandise et la finesse du chocolat noir, plus discret. Je ne perçois, en revanche pas, la noisette promise par la marque alsacienne.

Odeur à chaud

  • Clara : En brûlant, l’équilibre se fait davantage entre gourmandise et fraîcheur. Malheureusement, la noisette s’estompe à mon nez et il ne reste qu’un fond doux et sucré dans laquelle la menthe a été délayée. L’odeur est indéfinissable : il s’agit du chocolat mais ça pourrait tout aussi bien être de la vanille.
  • Lucie : En fondant, le parfum qui se dégage de la cire, se complexifie. Je ne retrouve plus l’association classique menthe / chocolat. La menthe, toujours très présente, presque poivrée n’est plus accompagnée par du chocolat mais par des fèves de cacao. Le fond est boisé et rond. Aussi bizarre que cela puisse paraître, la senteur me fait énormément penser à Tonka Sublime, les accords mentholés en plus.

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Diffusion

  • Clara : C’est là où le bât blesse. Délice est une des cires à la diffusion la plus mauvaise que j’aie testée. Alors qu’à froid, elle laissait présager une gourmandise bien présente – son odeur n’ayant rien de fade – elle ne libère qu’un très léger souffle mentholé. Est-ce la faute au format ? Le cœur est-il trop petit pour lui rendre justice ? A moins que le problème vienne spécifiquement de cette fragrance ?
  • Lucie : Bien que l’odeur soit en elle même puissante, la capacité de diffusion est très réduite. Il faut avoir le nez sur le brûleur pour sentir ses arômes. Pour pouvoir profiter pleinement de ses effluves, il faudrait selon moi plusieurs coeurs de cire.

Impressions générales

  •  Clara : Prometteuse à froid, Délice m’a laissée sur ma faim. Je n’ai pas encore trouvé ma bougie parfaite menthe/chocolat et la noisette, qui est peu présente dans le monde de la bougie parfumée et lui donnait une petite note originale, se fait désirer. Dommage !
  • Lucie : Je suis surprise par cette cire, qui n’a rien d’une gourmande comme son nom pourrait le laisser penser. Elle est délicate (voire trop) et recherchée. Pour celles et ceux qui apprécient Tonka Sublime, il s’agit d’une belle alternative tant sur le parfum que sur sa faible diffusion.

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Cette fois-ci, nos avis divergent quant à la perception de la noisette à froid et aux similitudes avec Tonka Sublime, que Lucie est la seule à posséder. Nous accordons nos violons sur la faible diffusion, surprenante pour une telle fragrance : Quali-Art aurait-elle décidé de revoir à la baisse la concentration de parfum de ses cires ?

Connaissez-vous Délice de Quali-Art ? Qu’en avez-vous pensé ? Une favorite à conseiller dans la catégorie menthe/chocolat ?

Lucie et Clara

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#79 Revue – Orange-Cannelle d’Alcante : j’achète en grand ou pas ?

C’est d’une association on ne peut plus classique dont je vous parle aujourd’hui puisque je vais vous invite à découvrir mes impressions sur la bougie Orange-Cannelle d’Alcante.

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Odeur et saveur indissociable de l’hiver et des fêtes de fin d’années, l’alliance de la cannelle et de l’orange plaît aux amoureux des agrumes et des épices, même si elle ne fait pas l’unanimité. Moi j’adore, ça me transporte instantanément sur un marché de Noël alsacien avec du vin chaud, des décorations festives et des chants de Noël en fond sonore.

J’ai décidé de tester Orange-Cannelle au format mini-bougie afin de me faire une opinion.

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A froid, pas de surprise, ça sent bien l’orange saupoudrée de cannelle, ni plus, ni moins. Le parfum est très réaliste et pas trop fort, comme ça peut être parfois le cas avec la cannelle.

Côté diffusion ça se gâte. Au bout d’une heure d’allumage, l’odeur est toujours discrète. Par moment des effluves épicés me montent au nez mais j’en espérais davantage. Il y a en outre une légère note piquante, vaguement cendrée, qui me déplaît et que je ne détectais pas à froid.

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Alors, j’achète en grand ou pas ?

Non. Je suis trop sceptique quant à la diffusion : même s’il s’agit d’un mini-format, mes petites Banane Rhum Raisin et Dragée Impériale embaument plus que ça. Pour un parfum classique comme celui-ci, je préférerais me tourner vers Yankee Candle et sa Spiced Orange ou vers Orange and Stars de Kringle Candle Company, même si la cannelle y est remplacée par du clou de girofle.

Connaissez-vous Orange-Cannelle d’Alcante ? Aimez-vous cette association parfumée ? Si oui, quelle est votre bougie orange-cannelle préférée ?

Clara

#70 Revue – Banana Split de Quali-Art

Et si on finissait la semaine avec une gourmandise ?

Je vous invite à découvrir un Banana Split signé Quali-Art.  La bougie est décrite par la marque comme une saveur onctueuse et exquise de banane, chocolat et vanille. Voilà qui est prometteur !

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C’est une bougie que je possède en format 25 heures, avec la fameuse mèche crépitante que j’aime tant et dont je vous ai déjà parlé dans ma première revue Quali-Art, consacrée à la superbe Vent du Sud.

A froid, la cire d’un appétissant jaune pastel sent  la banane bien mûre, nappée de chocolat. C’est l’odeur du fruit qui prédomine et je ne distingue pas la note vanillée.

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Quelques crépitements plus tard, la vanille a pris le dessus et là, chose surprenante, Banana Split me rappelle ma Love Sucrée, qui n’a pourtant rien à voir sur le papier. Rien… sauf la vanille justement. C’est donc la vanille crémeuse et très douce de Quali-Art que je reconnais. La banane enveloppée de chocolat fondu arrive après.

Il ne s’agit pas d’une odeur de banane puissante comme Paradise Spice de Yankee Candle mais plutôt laiteuse comme dans un milk-shake, donc relativement discrète.

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Concernant la diffusion – LE sujet qui fâche chez Quali-Art sur la blogosphère  ! – je dirais que Banana Split est un peu légère à mon goût, même si nettement perceptible.  L’odeur gourmande s’évanouit dès que la flamme est éteinte, dommage ! A sa décharge, j’ai le nez qui commence à se boucher avec toute cette pluie et ce vent humide et ma pièce est plutôt grande. C’est une bougie qui mérite d’être testée en plus grand format afin de bien profiter de son arôme délicieux, ce que je ferais certainement.

Et vous, connaissez-vous Banana Split de Quali-Art ? 

Clara

#48 Le cas Quali-Art : plus ça brûle, plus ça embaume

Aujourd’hui, je ne vais pas vous parler d’une bougie en particulier mais de toute une marque que j’affectionne beaucoup : Quali-Art.

C’est avec cette marque de bougies artisanales parfumées que j’ai fait mes premiers pas de bougie-addict, découvrant une gamme de senteurs gourmandes, pâtissières et exotiques à vous rendre carrément accro.

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Au fur et à mesure de mes flambées, j’ai remarqué un phénomène intriguant : plus je brûle mes bougies Quali-Art, plus elles sentent fort.

J’ai fait ce constat avec la jolie Love Sucrée (dont j’ai plus longuement parlé ici). Un peu frustrée au début par le pouvoir de diffusion que je trouvais trop léger, je l’avais rangée dans mon tiroir à bougies. Et puis en la ressortant : quelle bonne surprise !

Ma petite bougie de 25 heures envoyait du lourd ! Son arôme de prune, cranberry, framboise et vanille embaumait toute ma pièce, beaucoup plus rapidement qu’au début.

Lucie a remarqué le même phénomène avec sa bougie Belle Hélène (une création de la géniale Pimousse), qui diffusait son délicieux mélange de poire, chocolat et amande de plus en plus fort au fil des utilisations.

Je n’ai pas constaté ça chez d’autres marques et je ne sais pas comment l’expliquer. Peut-être que Quali-Art parfume davantage le cœur de la cire ? Peut-être est-ce dû au format 25 heures et à son petit verre qui chauffe de plus en plus fort et libère donc davantage de parfum  ?

Je serai curieuse de savoir si vous avez déjà remarqué ça en tout cas !

Clara

#25 Revue – Black Coconut de Yankee Candle

Après la grosse déception Sun and Sand, j’avoue que j’étais un peu échaudée à l’idée de tester ma jarre Black Coconut, également reçue pour mon anniversaire.

Ce parfum qui me faisait tant fantasmer allait-il être à la hauteur ?

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A froid, Black Coconut est aussi délicieuse que je l’imaginais. La senteur est décrite par la marque comme un mélange de « noix de coco crémeuse, de cèdre et de fleurs des îles ». Bizarrement, je ne trouve pas qu’elle sente vraiment LA noix de coco. On reconnaît le fruit au nez, mais il semble enveloppé d’autres arômes difficiles à décrire.

Le résultat est subtil, ce n’est pas une de ces noix de coco chimiques et ultra sucrées qui abondent au rayon gels douches et dans la parfumerie bas de gamme. J’aime beaucoup le fait que la cire soit noire, ça lui donne un côté chic et original.

L’odeur qui se diffuse en brûlant est fidèle au parfum à froid. Je sens une noix de coco suave, sensuelle, raffinée et presque masculine (l’odeur du cèdre sans doute). Son sillage m’évoque un coucher de soleil sur une plage bordée de cocotiers, quelque part au bout du monde.

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C’est une très belle création : je regrette en revanche qu’elle ne sente pas plus fort ! Si la fragrance se diffuse bien, l’odeur reste un peu légère à mon goût, bien que tout à fait perceptible. Une fois que la bougie est éteinte, elle ne persiste malheureusement pas longtemps dans la pièce.

Je crois que c’est propre à toute la collection Fresh de Yankee Candle, dont Black Coconut fait partie, tout comme Sun and Sand. Des parfums a priori puissants, lorsqu’on met le nez dans la jarre, qui se révèlent tout doux et discrets une fois allumés.

Rien à voir avec le pouvoir de diffusion assez exceptionnel de Chocolate Bunnies, Sugared Apple et Mango Nectarine par exemple, même si Black Coconut reste une jolie découverte et une bougie que je prends beaucoup de plaisir à brûler !

Connaissez-vous Black Coconut ? Qu’en pensez-vous ?

Clara